Découvrez des conseils et explications essentiels sur la peau, de la cellulite aux rides.
Qu'est-ce que c'est ?
Un muscle minuscule est fixé à la base de chaque poil. Sa contraction permet d’augmenter la température corporelle en cas de refroidissement. C’est l’effet «chair de poule». Autre fait intéressant : le rasage n’augmente pas la pilosité, contrairement à la croyance populaire !
Imagine que le poil est comme une plante qui pousse dans un petit trou appelé follicule pileux, situé sous ta peau. Ce follicule est comme un pot de terre où la plante (le poil) grandit.
Chaque poil a des caractéristiques uniques, comme :
- La couleur du poil dépend d’un pigment appelé mélanine.
- Plus il y a de mélanine, plus le poil est foncé.
- Moins il y en a, plus il est clair (comme les cheveux blonds ou blancs ou roux).
- Le duvet 🌿 : Très fin, clair et superficiel (comme les petits poils sur les joues des bébés).
- Le poil intermédiaire 🍃 : Ni trop fin, ni trop épais.
- Le poil terminal 🌳 : Épais, foncé et profond (comme les cheveux, la barbe ou les poils des jambes).
- Phase anagène 🚀 : Le poil pousse activement.
- Phase catagène ⏸️ : Il s’arrête de grandir.
- Phase télogène 🍂 : Il tombe pour laisser place à un nouveau.
La phase anagène
C’est la phase de croissance active, durant cette période, la racine du poil se développe activement dans le follicule pileux. La durée de cette phase varie en fonction de nombreux facteurs, tels que l’espèce, la génétique et la zone corporelle concernée. Chez l’humain, la phase anagène dure en moyenne entre 2 à 18 mois suivant les zones du corps.
La phase catagène
C’est la phase de transition. Durant cette période, la division cellulaire ralentit et la synthèse des protéines se réduit considérablement. Le poil cesse donc de croître et se prépare à tomber. La durée de cette phase est généralement courte.
La phase télogène
C’est la dernière phase du cycle de croissance des poils. Durant cette période, le poil est inactif et se détache progressivement du follicule pileux. C’est le moment où le poil tombe naturellement, permettant ainsi la repousse d’un nouveau poil. La durée de la phase télogène est variable selon les individus et les espèces, allant de quelques semaines à plusieurs mois.
Nouvelle phase Anagène
Appelé aussi phase néogène, c’est une phase du cycle pilaire qui correspond au début de la repousse d’un nouveau poil après la chute de l’ancien. Le follicule pileux, qui était inactif, commence à se réactiver. Une nouvelle matrice pilaire se forme, et un nouveau poil commence à émerger.
L’hérédité : les poils, un cadeau de famille !
Nos gènes, transmis par nos parents, déterminent la quantité, la couleur et l’épaisseur de nos poils. Regarde autour de toi : certaines personnes ont des sourcils épais, d’autres très fins. Certaines ont une chevelure dense, d’autres peu de cheveux. C’est pareil pour les poils du corps ! Tout cela est écrit dans notre ADN, comme une recette transmise de génération en génération!
Les hormones : des chefs d’orchestre pour les poils !
Les hormones sont comme des petits chefs d’orchestre qui contrôlent la croissance des poils. Quand les hormones changent, les poils aussi ! À la puberté, les garçons et les filles voient apparaître des poils sous les aisselles, sur le pubis, et parfois sur d’autres parties du corps. Pendant la grossesse, certaines femmes remarquent que leur pilosité change. Avec l’âge, la densité et la couleur des poils peuvent aussi se modifier.
🔴 Et quand il y a un déséquilibre hormonal ? Si le corps produit trop d’hormones masculines (comme la testostérone), cela peut provoquer une pousse excessive des poils (hirsutisme). C’est ce qui se passe dans certaines maladies, comme le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) ou le syndrome de Cushing.
Les médicaments : des effets secondaires poilus !
Certains médicaments peuvent stimuler la pousse des poils, car ils modifient les signaux envoyés à nos follicules pileux.
Quelques exemples : Les corticoïdes (comme la cortisone) : souvent utilisés pour les allergies ou l’asthme. Le minoxidil : utilisé pour traiter la perte de cheveux, mais peut aussi faire pousser plus de poils sur le visage ou le corps. Certains stéroïdes anabolisants : pris pour augmenter la masse musculaire, mais qui stimulent aussi les poils.
Imagine que tes poils sont comme des fleurs dans un champ. 🌸 Elles ne poussent pas toutes en même temps : certaines viennent de germer, d’autres sont en pleine floraison et d’autres commencent déjà à faner. C’est exactement la même chose pour tes poils, qui ont chacun leur propre rythme de vie !
Tous les poils ne poussent pas en même temps
Dans une même zone (comme les jambes ou les aisselles), tous les poils ne sont pas au même stade. Certains sont en train de pousser (🌱 phase anagène), d’autres sont au repos (⏸ phase catagène), et d’autres s’apprêtent à tomber (🍂 phase télogène).
Pourquoi le laser ne fonctionne que sur certains poils ?
Le laser fonctionne uniquement sur les poils en phase anagène, c’est-à-dire ceux qui sont en train de pousser.
Pourquoi ?
Parce qu’à ce moment-là, le poil est plus riche en mélanine (le pigment qui absorbe l’énergie du laser) et il est bien attaché à sa racine, le bulbe. Cela permet au laser de détruire le follicule pileux et d’empêcher le poil de repousser.
Pourquoi faut-il plusieurs séances ?
Comme tous les poils ne sont pas synchronisés, il faut plusieurs séances pour que le laser puisse attraper les nouveaux poils en phase anagène à chaque fois. C’est comme tondre un champ où l’herbe ne pousse pas partout en même temps : il faut repasser plusieurs fois pour que tout soit bien coupé.
En général, il faut 6 à 8 séances, espacées d’1 à 2 mois, pour traiter tous les poils d’une zone et obtenir une épilation durable.
En moyenne, une séance d’épilation au laser diode permet d’éliminer 10 à 20 % des poils de la zone traitée. L’efficacité dépend de plusieurs facteurs, notamment le type de peau, la couleur et l’épaisseur des poils, ainsi que le respect du cycle pilaire.
✅ Le laser détruit seulement les poils en phase de croissance (anagène).
✅ Comme tous les poils ne sont pas en anagène en même temps, il faut plusieurs séances.
✅ Après plusieurs passages, presque tous les poils sont éliminés définitivement.
✅ C’est pourquoi l’épilation laser demande de la patience, mais offre des résultats durables ! 😊
- Arrêt ou prise de certains médicaments, prise de poids importante, changement hormonal, maladie rare, grossesse (ventre et bas du visage).
- Sur le menton et le bas du visage des poils peuvent réapparaître toute la vie : l’épilation n’est pas définitive sur ces zones.
- Dans environ 1 % des cas, non prévisibles, l’épilation laser n’est pas définitive, n’est pas efficace, sans explication connue.
À partir de quel âge peut-on faire du laser ?
👉 On recommande d’attendre 15-16 ans, après la puberté. Pourquoi ? Parce qu’avant cet âge, les hormones changent encore beaucoup et les poils risquent de repousser malgré le laser.
Pourquoi la couleur du poil et de la peau est importante ?
Le laser fonctionne en ciblant la mélanine, le pigment qui donne sa couleur aux poils et à la peau.
Quels poils ne peuvent pas être traités ? ❌ Poils blancs : Pas de mélanine, donc le laser ne peut pas les voir. ⚠️ Poils blonds ou roux : Peu de mélanine, donc plus difficile à éliminer.
Peut-on faire du laser si on a un problème hormonal ou médical ?
Dans certains cas, le laser peut être nécessaire même avant 15-16 ans, mais sous conditions :
✅ Si une personne a trop de poils à cause d’un problème hormonal (hirsutisme, hypertrichose). ✅ Si les poils provoquent des inflammations douloureuses (folliculites). ✅ Si c’est une pathologie comme la maladie de Verneuil.
Tu t’es déjà demandé comment le laser arrive à éliminer les poils ? 🤔 C’est grâce à un effet thermique ciblé !
🔬 Le laser envoie une lumière spéciale, très concentrée, à une seule longueur d’onde (une seule couleur = monochromatique).
🎯 Cette lumière cible la mélanine (le pigment foncé du poil), la chauffe et détruit le follicule pileux (la racine).
✅ Résultat : l’épilation est efficace et durable.
❌ Problème : Sur une peau foncée ou bronzée, il y a un risque que le laser chauffe la mélanine de la peau au lieu du poil, ce qui peut entraîner :
- 🔥 Brûlures ou croûtes
- ❌ Hyperpigmentation (taches plus foncées)
- ❌ Hypopigmentation (taches plus claires)
⚠️ Le laser Alexandrite est connu pour être plus douloureux que d’autres types de lasers (comme le laser diode).
✔️ Le laser diode est un type particulier de laser qui utilise une longueur d’onde autour de 808-810 nm.
🔍 Ses avantages :
- ✅ Il pénètre en profondeur et atteint bien la racine du poil.
- ✅ Il fonctionne sur toutes les couleurs de peau, même les plus foncées.
- ✅ Il est moins risqué pour la peau, car il chauffe sans brûler (contrairement à l’Alexandrite).
💡 En résumé : c’est le laser le plus utilisé en épilation durable, car il est efficace et adapté à presque tout le monde !
🌈 Contrairement au laser, la lumière pulsée émet une lumière plus large et moins ciblée (plusieurs longueurs d’onde entre 500 et 1200 nm).
🔍 Comme la lumière est moins concentrée, il faut utiliser un filtre pour qu’elle atteigne bien les poils.
⚠️ Ses limites :
- ❌ Elle est moins puissante que le laser.
- ❌ Elle demande plus de séances pour obtenir un bon résultat.
💡 Mais elle a un avantage : elle peut aussi être utilisée pour traiter d’autres problèmes de peau (rougeurs, taches, rajeunissement).
Précautions générales avant une séance
- 🚫Ne pas s’exposer au soleil au moins 4 semaines avant et après la séance.
- 🚫Ne pas utiliser d’autobronzant avant le traitement.
- 🚫Ne pas s’épiler à la cire ou à l’épilateur électrique avant la séance (se raser uniquement).
- 🚫Ne pas prendre d’aspirine ou d’anti-inflammatoires avant la séance (risque d’ecchymoses).
⛔ Grossesse et allaitement
Il n’y a pas d’étude prouvant que le laser est dangereux pour le bébé, mais par précaution, il est déconseillé d’effectuer des séances pendant la grossesse et l’allaitement. De plus, les hormones modifient la pousse des poils, ce qui peut réduire l’efficacité du traitement.
⛔ Peau bronzée, autobronzant ou exposition récente au soleil (moins de 4 semaines)
La mélanine du bronzage absorbe la lumière du laser et augmente le risque de brûlures, taches brunes (hyperpigmentation) ou taches blanches (hypopigmentation). Solution : Attendre 4 à 6 semaines après une exposition au soleil ou utiliser un laser diode adapté aux peaux foncées.
⛔ Tatouages sur la zone traitée
Le laser peut brûler et détériorer les pigments du tatouage, entraînant des brûlures graves et une décoloration du tatouage. ✔️ Solution : Laisser une marge de sécurité autour du tatouage ou choisir une autre méthode d’épilation.
⛔ Maladies de peau actives (eczéma, psoriasis, herpès…)
Le laser peut aggraver certaines maladies cutanées ou provoquer une poussée inflammatoire. Si tu es sujet(te) à l’herpès, un traitement préventif peut être prescrit avant la séance.
⛔ Cancer de la peau ou antécédents de mélanome
Le laser agit sur la mélanine, ce qui peut stimuler une mutation cellulaire sur une peau déjà fragilisée par un cancer. ✔️ Solution : Demander l’avis d’un dermatologue.
Certains médicaments rendent la peau plus sensible au laser, augmentant les risques de brûlures et d’irritations.
Exemples de médicaments photosensibilisants :
- Antibiotiques (tétracyclines, quinolones).
- Rétinoïdes (Reactutane, isotrétinoïne) → attendre au moins 6 mois après l’arrêt.
- Anti-inflammatoires (ibuprofène, kétoprofène).
- Antidépresseurs et neurologiques (certains ISRS).
- Pilules contraceptives contenant des œstrogènes (risque de taches pigmentaires).
Reactutane (isotrétinoïne) rend la peau plus fragile et plus fine, augmentant le risque de brûlures et cicatrices.
Solution : Attendre au moins 6 mois après l’arrêt du traitement.
Les déséquilibres hormonaux peuvent provoquer une repousse rapide des poils, rendant le laser moins efficace ou nécessitant plus de séances.
Solution : Associer le laser à un traitement hormonal adapté.
Le diabète peut ralentir la cicatrisation et augmenter le risque d’infections après la séance.
Solution : Vérifier avec un médecin avant le traitement.
Le laser diode peut être utilisé sur les peaux foncées, mais avec une énergie plus basse pour éviter les brûlures.
Solution : Privilégier un laser diode, qui est plus sûr pour ces phototypes.
Certaines maladies rendent la peau plus fragile et réactive, augmentant le risque de cicatrices ou dépigmentation.
Solution : Demander un avis médical avant tout traitement.
💉 Effets secondaires fréquents (normaux et transitoires)
Sensation de coup de soleil :
- ✔️ Sensation de chaleur ou de brûlure légère.
- ✔️ Peut durer de quelques heures à 2 jours maximum.
- ✔️ Soulagé par l’application d’aloe vera ou d’une crème apaisante.
Rougeurs et gonflements autour des poils :
- ✔️ Apparaissent dans les minutes qui suivent la séance. .
- ✔️Indiquent que le traitement a bien fonctionné.
- ✔️ Disparaissent en 24 heures.
Sécheresse et légère irritation de la peau :
- ✔️ Peut être atténuée par une hydratation régulière.
⚠️ Effets secondaires plus rares mais possibles
Petites croûtes (exceptionnelles) : :
- ✔️ Peuvent apparaître si la peau est fragile ou mal hydratée.
- ✔️ Ne pas gratter pour éviter les cicatrices.
Taches brunes ou blanches (transitoires) :
- ✔️Hyperpigmentation (taches brunes) : surtout sur peau bronzée.
- ✔️Hypopigmentation (taches blanches) : surtout chez les peaux foncées.
- ✔️ Durée : quelques semaines à quelques mois.
Réactions allergiques :
- ✔️ À la crème anesthésiante (si utilisée).
- ✔️Aux débris pilaires brûlés.
- ✔️Au froid appliqué pour apaiser la peau.
🚨 Effets secondaires très rares mais graves
✔️ Cicatrices définitives (exceptionnelles) :
- ✔️Surtout en cas de mauvaise utilisation du laser (mauvais réglage, peau bronzée, exposition au soleil après la séance).
- ✔️Solution : bien choisir un praticien qualifié et respecter les consignes post-séance.
Consignes post-séance et comment limiter les effets secondaires ?
- Éviter le soleil 4 semaines avant et après.
- Bien hydrater la peau après chaque séance.
- Ne pas gratter ni frotter la peau après la séance.
- Ne pas utiliser de produits agressifs (gommages, acides, parfums).
Un flash peut être effectué, sur une zone préalablement refroidie pour le phototype 5 et 6, pour évaluer le ressenti du client et la réaction de la peau aux paramètres sélectionnés. Les paramètres sélectionnés seront efficaces si le client ressent l’impact de la lumière sur la racine des poils lors des flashs (comme un coup d’élastique) sans que la peau ne réagisse. La réaction de la peau au flash test sera vérifiée entre 10 minutes et 24 heures après pour le phototype 1 et entre 3 heures et 24 heures pour les phototypes 2 à 6. Aucun picotement résiduel, sensibilité de la peau sur la zone, ne doit persister au-delà.
Un test peut aussi être utile pour rassurer la cliente et lui montrer les résultats. Et pour attirer des nouvelles clientes avec une séance découverte à prix réduit (stratégie marketing efficace).
Conclusion : Dans la majorité des cas, ce n’est pas nécessaire, mais dans certains cas, un test peut être précieux pour garantir la sécurité et l’efficacité du traitement !
→ Pourquoi ?
Parce que le laser a besoin du poil pour fonctionner ! Le poil agit comme une petite fibre optique qui conduit la lumière jusqu’à sa racine. Si tu l’enlèves complètement, le laser n’a plus de cible.
On peut raser, couper aux ciseaux ou utiliser une crème dépilatoire.
La peau doit être propre et rasée 2 à 3 jours avant la séance
Masquer les grains de beauté et les tatouages avec un crayon blanc ou un pansement opaque.
Pour les phototypes 5 et 6, refroidir efficacement une petite zone à traiter (10x10cm maxi) avec un glaçon durant 3 à 5 minutes
Le port de lunettes de protection adaptées est obligatoire pendant la séance !
Sensation : Ça ressemble à un coup d’élastique sur la peau ou à des petits picotements rapides. Certains ressentent aussi une chaleur très brève.
Ce qui se passe sur la peau :
✔ Le poil frise et coagule (c’est normal !).
✔ La peau peut devenir rouge et gonflée (comme une piqûre d’ortie).
✔ Ces signes disparaissent en quelques heures.
Parfois (rarement) : petites croûtes ou cloques, tâches brunes ou blanches, mieux vaut éviter le soleil après la séance.
Fréquence des séances : Tous les 4 à 10 semaines, selon la zone et le type de poils.
Nombre total de séances : En général, il faut entre 6 et 10 séances pour obtenir une vraie réduction des poils. Ensuite, il peut être nécessaire de faire des séances d’entretien tous les 6 à 12 mois.
Crèmes réparatrices et cicatrisantes : Cicalfate+ (Avène), Cicabio Crème (Bioderma), Epithéliale A.H (A-Derma).
Crèmes apaisantes et anti-inflammatoires : Biafine, Ialuset (acide hyaluronique).
En cas de douleur ou de risque d’infection : Flammazine (sur prescription), Homéoplasmine.
Les poils sont influencés par les hormones androgènes (comme la testostérone et la DHEA), qui stimulent l’activation des follicules pileux...
- Grossesse : Augmentation des androgènes, surtout au 3ᵉ trimestre.
- Ménopause : Baisse des œstrogènes, laissant plus d’influence aux androgènes.
- SOPK : Excès d’androgènes pouvant stimuler la pousse de nouveaux poils.
- Stress important : Peut impacter les glandes surrénales et la production d’hormones.
Vieillissement des mélanocytes
Les mélanocytes sont des cellules situées à la base du poil qui produisent la mélanine. Avec l’âge, ces cellules s'épuisent et arrêtent progressivement de fabriquer du pigment. Résultat : le poil pousse sans couleur et devient blanc ou gris.
Facteurs génétiques
L’apparition des poils blancs dépend beaucoup de la génétique. Certaines personnes ont des poils blancs très tôt, tandis que d'autres les voient apparaître plus tard.
Stress et mode de vie
Le stress intense peut accélérer l’apparition des poils blancs en affectant la production de mélanine. Le tabac, une mauvaise alimentation et certaines maladies peuvent aussi jouer un rôle.
Fluctuations hormonales
Les changements hormonaux (ménopause, troubles thyroïdiens) peuvent modifier la pigmentation du poil et accélérer l’apparition des poils blancs.
Problèmes de santé
Certaines maladies auto-immunes (comme le vitiligo) ou des carences en vitamines (B12, fer, cuivre) peuvent entraîner une dépigmentation des poils.